Fatiah,
Tes yeux bruns
Peuvent bien
Prendre l’eau
Ils n’en sont pas moins beaux
Moins pétris de lumière.
Tant de fois mère,
Pour tant d’enfants, tu as été !
Heureux les mômes qui ont grandi
Sous l’immense dôme béni
De tes deux ailes protectrices
Nourrice ! Femme de coeur !
Au plus violent de la douleur,
Ne doute pas d’être entourée
Par tous ceux que tu as aimés
– P R O F O N D É M E N T –