Joseph

Joseph,
Puissent couler longtemps tes rythmes polyformes,
La poésie qui orne tes silences et tes mots.
Nul doute que le piano autrefois délaissé
A dépassé le mur du son et des corvées :

Les touches blanches et noires dans la danse des vagues,
Divaguent à l’infini des vents et des marées.
Tes dessins, ton djembé, ton amour du mystère de la vie éveillée
Te portent haut, jeune bricoleur :
En mécano, en ingénieur, tu sauras trouver le chemin
C’est de ton cœur que tout s’anime, que la beauté chante au matin.

Contemple, profite :
Ta liberté abrite ce dont tu as besoin.

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